Pendant plus de quarante ans, le Ministère de la Culture, la vingtaine d’écoles françaises et la Profession d ‘architecte vont jouer chacun leur partition en guise de réponse.
Dans ce microcosme où Mai 68, en toute déraison, n’a rien inventé mais tout révélé, les préoccupations intellectuelles et idéologiques sur fond de conflits d’intérêts et de pouvoirs ne seront pas toujours à la hauteur des enjeux de la demande sociale.
Jean-Baptiste Leccia nous fait vivre le film de sa vie à l’école d’architecture de Marseille d’abord comme sous directeur (1968-70) puis comme enseignant de sciences humaines (1973-2008) : dans un livre en cours d'édition à paraître en 2011.
En tant qu’ancienne école régionale, refusant l’héritage de la vieille Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, boudée par l’Université, tentée par le professionnalisme, l’ Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille va-t-elle savoir trouver un avenir ? Malgré les pratiques déroutantes des uns et des autres - directeurs, profs et élèves - Jean-Baptiste Leccia veut y croire ! En tout cas il en rêve.
Jean-Baptiste Leccia, Né en 1943 au Maroc, rentré en France à 15 ans, élève de Jean-Claude Passeron en classe de philosophie au lycée Périer de Marseille ; études de droit, de géographie, de sciences politiques et d’histoire à Aix-en-Provence, sous-directeur de l’école d’architecture de Marseille à la veille de Mai 68,puis enseignant pendant plus de 30 ans à l’école d’architecture de Marseille.
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Dans ce microcosme où Mai 68, en toute déraison, n’a rien inventé mais tout révélé, les préoccupations intellectuelles et idéologiques sur fond de conflits d’intérêts et de pouvoirs ne seront pas toujours à la hauteur des enjeux de la demande sociale.
Jean-Baptiste Leccia nous fait vivre le film de sa vie à l’école d’architecture de Marseille d’abord comme sous directeur (1968-70) puis comme enseignant de sciences humaines (1973-2008) : dans un livre en cours d'édition à paraître en 2011.
En tant qu’ancienne école régionale, refusant l’héritage de la vieille Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, boudée par l’Université, tentée par le professionnalisme, l’ Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Marseille va-t-elle savoir trouver un avenir ? Malgré les pratiques déroutantes des uns et des autres - directeurs, profs et élèves - Jean-Baptiste Leccia veut y croire ! En tout cas il en rêve.
Jean-Baptiste Leccia, Né en 1943 au Maroc, rentré en France à 15 ans, élève de Jean-Claude Passeron en classe de philosophie au lycée Périer de Marseille ; études de droit, de géographie, de sciences politiques et d’histoire à Aix-en-Provence, sous-directeur de l’école d’architecture de Marseille à la veille de Mai 68,puis enseignant pendant plus de 30 ans à l’école d’architecture de Marseille.
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